arrivée d'un Montagnard pour le moins surprenante

Nombre de messages : 8 Date d'inscription : 12/01/2009

La route fût longue depuis les montagnes Dauphinoise, depuis ce village qui tutoie le ciel. Nulle part ailleurs nous sommes plus près d’Aristote, aux côtés des neiges éternelles.

La route fût elle ainsi longue, mais comme « le fier » aimait a le dire, l’homme ne connaît des limite que celle qu’ils se fixent. Parcourant ainsi seul, sur son fidèle cheval, l’épée au côté, couvert de son mantel, jour et nuit bien souvent, il se dirigea vers un lieu plusieurs fois vanté et non venté.

Faisant halte en des gîtes, afin de trouver repos et ripaille, il avança sans soucis tout juste deux malheureux qui avait penser qu’un nobliaux était à leur porté. Mal leur en a pris, le premier n’étant plus la pour le raconter le désastre tandis que son ami le nez en sang devait encore courir. Rien qui vaille donc le fait que l’on s’arrête sur plus de détails, tout juste fût t’il chagriné de voir sa chemise ainsi taché.

Une tavernière pleine de ressource nettoya vite la chose devant la générosité affichée de notre Vicomte.

Apres une dizaine de jour donc, étendard claquant au vent aux couleurs du Vicomté de Monestier de Briançon, des seigneuries de Montgenèvre, de Saint Giraud et de celle de Chateauneuf de Galaure, il arriva au abord de toulouse.

Apostrophant un homme au teint mate, il chercha a se faire comprendre chose étrange ceci ne fit pas simple entre un provençal alpin et un occitan. Le montagnard se présentant de la sorte

bien lo bonjor !
Comint que te vôs monsu? Onque TNT demeuron ?
marci bien

Devant l’incompréhension il sortit alors de son chapeau sa fonction de chef de cabinet royal aux dialèctes variés, cherchant à se faire comprendre, le François n’étant cependant pas accessible de tous.

Bien le bonjour !
Comment allez vous ? ou se trouve les TNT
Merci bien

L’homme plus enclin a lui répondre aillant cette fois comprit lui indiqua prestement le chemin recevant en retour 5 écus pour le service rendu au noble.

Nombre de messages : 8 Date d'inscription : 12/01/2009

Tournant la bride de son cheval, il se dirigea alors vers le lieu, indiqué. Humant l’air il nota un fumet mélange de sueur et de virilité lui titiller les narines. Bon sang, Argael tu fouettes, au puit en vitesse faut arranger cela.

La chose commune de tout village, réside en la présence d’un marché d’une mairie d’une église et d’un puit pour l’eau. Celui en place principale du village voyait une paysanne s’y affairer. En Gentilhomme, « le Fier » se proposa de l’aider, chose qu’elle refusa avec un sourire poli. Ne s’offusquant point plus de cela il attendit alors se mettant a l’aise, que diable l’hiver était chaud ici. Bien vite torse nu, il tira un sceau du puit et se mouilla sans retenue.

Bientôt trempée, il laissa son corps sécher au soin de la nature du vent et du soleil timide en ce mois de janvier. Sur la place le spectacle de cet homme trapu aux cheveux long et aux yeux verts, le corps couvert de marque de lame attira bien vite l’incrédulité de la populasse. Torse nu en janvier.

Peuchère, mazette, Marie il est pas bien le nobliau, crut t’il entendre d’une des commères du village, lui arrachant un large sourire.

Encore un brin humide, il remit la chemise et le mantel. D’un hochement de tête il salua la foule faisant courbette, conscient de la distraction ici offerte à sa vue.

bien lo bonjor vé chi ne, Lo Dôfené vo Bon sai

Enfourchant son cheval, il prit plus disposé le chemin du bâtiment des TNT, qui trouva sans peine, bien indiqué par l’homme précédemment rencontré.

D’un geste de la main il salua l’homme à l’entré montrant par la nulle agressivité de sa part.

Holà messire peux tu m’ouvrir les portes je suis fourbu et courbaturé j’ai grand besoin de tester l’hospitalité icelieu. Vous seriez admirable de dévotion a prévenir damoiselle Carméli et damoiselle Mylene qu’une vielle connaissance attend, et qu’il n’ais jamais bon de faire attendre cette personne. Merci bien.

En attendant la suite il descendit de cheval flattant l’encolure de son compagnon de voyage, attrapa ses couleur claquant au vent de la main droite attendant la suite.

Nombre de messages : 142 Date d'inscription : 30/12/2008

Après ses rondes matinales,*Mylène* à Castelnaudary passant par la grande place arriva bientôt sur la grande rue. Bientôt elle avisa le grand stade de soule qui faisait face à sa maison et arrivant devant elle jeta un oeil vers la maison du père Bushiro qui était de plus en plus absent. Soupirant elle entra chez elle ,et se trouva bientôt assalie par un sanglier qui lui montrait sa joie de la voir à sa manière, et qui consistait à pousser de grouikements en frottant son museau sur le sol.
riant aux éclats *Mylène* sortit deux grosses carottes qui disparurent dans la gueule du porcin sitôt présentées devant lui.
Allez gros morfale régales toi. Bon je dois passer aux bureaux du TNT tu veut venir? Alors en route.

Reprenant sa besace qu'elle portait sur son épaule ,*Mylène* enfourcha son cheval en direction de Toulouse. L'air était agréablement doux pour un mois de janvier ,qu'un décembre glacial avait laissé le remplacer. Le martellement des sabots de son cheval sur la route ensablée lui rappela les virées qu'elle faisait avec le sanglier dans les routes avoisinantes de Briançon.
Le sanglier lui était fidèle depuis ce temps ou elle se souvenait Black s'était installé chez elle emmenant avec lui l'énorme porcin qu'elle avait pourtant vu arriver d'un froncement de sourcils. Puis le temps avait passé et le sanglier était devenu le compagnon de toutes le virées de *Mylène* jusqu'à l'accompagner à Valence quand elle s'y était portée volontaire remplaçant ainsi au pied levé l'ex lieutenant Invictus. Black avait disparu comme tout les mystères qui l'entouraient et résignée elle inclina à changer de vie ,et cette occasion allait vite se présenter.
Puis l'envie de départ commença de la tenailler devant les incertitudes qui parsemaient sa vie,ou le seul soleil qui était venu illuminer sa vie en la personne de Vanack avait depuis peu rejoins le paradis d'Aristote. Dans son cœur *Mylène* gardait toute la tendresse qu'il avait sut lui donner à des moments très difficiles ou seule peut-être n'aurait-elle pas été capable de résister.
Perdue dans ses pensées elle arriva bientôt en vue de Toulouse la rose. Telle sortie d'un écrin autour duquelle la nature avait des droits en semant la région de forêt d'immenses épicéas.

Traversant la grande place elle passa devant la mairie et l'église et arriva bientôt devant le bâtiment des bureaux du tnt. Tournant la bride à son cheval elle contourna le bâtiment et se dirigea vers les écuries. Comme elle mettait pied à terre une voix lui parvins de devant la bâtisse qu'elle n'eut aucun mal à reconnaitre se demandant pourtant si elle ne rêvait pas encore.
Dérogeant à son habitude de s'occuper de desseller sa monture elle appela le palefrenier qui arriva en courant.

Albert je suis désolée,mais je n'ai pas le temps aujourd'hui . occupes toi de mon cheval ce matin.

Elle se dirigeait déjà à grands pas vers l'entrée de la bâtisse. S'arrêtant au coin elle avisa en souriant la silhouette familière du vicomte de Monestier,le plus fier des montagnards qu'elle connaissait. Là pendant un instant elle repensa à Briançon et tout ce qu'elle y avait vécu,que de temps passé depuis ces jours ou elle riait avec Eli et partageait avec ses amis des chopes de bières et des rires qui les amenaient à rentrer tard la nuit. Étirant ses lèvres d'un large sourire elle alla au devant du vicomte.

Par ma matraque qui s'ennuie, vicomte de Monestier. Vous ici? Vous auriez put me prévenir ,je n'ai pas oublié que je vous avait promis un tapis rouge . Et bien ça si on m'avait dit cela. Allez entrez donc et venez vous reposer confortablement ,je fais prévenir Carmeli de votre arrivée.

Ellant le gardien elle entra dans la bâtisse le vicomte à ses côtés. Dans le grand hall elle le conduisit vers un grande porte qui ouvrait sur une salle immense meublée de fauteuil et canapés appelant plus à la sieste qu'a la réflexion ,aussi cette salle qui devais s'appeler a l'origine salle de réunion devint le boudoir de la paresse méritée.

Préviens Carmeli qu'une surprise l'attends dans le boudoir. Allez presse toi la surprise n'aime pas attendre.
Riant elle se dirigea vers un meuble qu'elle ouvrit montrant à l'intérieur un rangée de bouteilles des alcools les plus fins de la région. Elle s'appretait à proposer un choix au vicomte quand elle entendit les pas empressés de Carmeli dans le couloir.

Nombre de messages : 91 Localisation : Castres Date d'inscription : 29/12/2008

Carmeli tout a ses dossiers , concentré ne sortait pratiquement plus de chez TNT sauf bien sur pour surveiller les portes de la ville quand il le fallait. Elle entendit bien des sabots de chevaux , cela lui fit lever les yeux vers la fenêtre la première fois puis se raisonnant , elle se remit au travail sans faire cas des bruits de la rue. Elle entendit des voix , notamment celle de Mylène mais ne su ce qu’elle disait .

Arf !! ce dit elle , elle viendrait surement la saluer dans un moment.
Carmeli se replongea dans son travail , quand on toqua à la porte du bureau .

Entrez …. elle vit Albert faire son entrée comme si le feu était au porte de TNT .

Mam’ zelle venez vite Dame Mylene vous réclame , vite je vous dis !!!

Perplexe Carmeli le regarda lui pourtant si calme d’habitude . D’un coup son sang ne fit qu’un tour que pouvait-il y avoir de si urgent . Puis pourquoi diable Mylene ne venait elle pas lui dire .
Pressant le pas Carmeli suivit Albert jusqu’au boudoir , le porte y était entrouverte , elle crut reconnaitre une carrure celle de son parrain , avant d’entrer dans la pièce elle se raisonna . Mais non pauvre idiote il ne viendra jamais ici , tu sais bien qu’il voyage pas .
Elle se demanda si ses envies de revoir ses Montagnes lui jouaient pas des tours. Pour en être sur il faut entrer , sans frapper elle ouvrir grand la porte , pour le voir là discutant avec Mylène . Elle n’en croyait pas ses yeux . Le voir ici, lui le « Fier « , à la stature si imposante, l’œil brillant elle le dévisagea arrivant tout juste à lui dire bonjour .

Bonsoir mon cher Parrain rouge pivoine je n’en reviens pas de vous voir ici . Soyez le bienvenue .

Ne pouvant plus rien ajouter , retenant ses larmes de joie de le revoir .

Nombre de messages : 8 Date d'inscription : 12/01/2009

Étendard claquant au vent, l’homme qui se présenter pas forcement grand mais bien trapu, cheveux long légèrement grisonnant, moustache taillé, et yeux émeraude, faisait forte impression.

Légèrement vêtu ne possédant qu’une chemise épaisse, l’homme dénoter avec les traditions Toulousaines, alors même que les mantels et autres vêtements en laine était de sortie. De part son visage également l’homme semblait étranger, le visage aussi dur que son regard pouvait sembler tendre, la peau avait durcit au contact des saisons rigoureuses.

Devant la demande, l’homme à l’entrée ne se le fit pas dire deux fois et s’élança rapidement chercher les deux personnes demandés sans même oser demander qui les réclamer.

C’est donc patientant au prés de son cheval qu’il observa le paysage qui s’offrait a ses yeux. Ici nul relief, une végétation encore différente de celle des plaines et colline de chez lui. Même à Lyon ou Montélimar, la nature ne ressembler point en tout point a celle-ci.

Se reconcentrant sur le but de sa venue, il se mit à penser à Carmeli et Mylène. Avaient t’elle changé ? Étaient-elles heureuses ici ? Avaient t’elle fait honneur a leurs montagnes ? Avaient t’elles réussis à trouver homme à les tenir ? Il sourit à cette perspective revoyant alors Mylène, pour sur l’homme devrait posséder un caractère montagnard.

Arrivant soudain pas l’angle du bâtiment, la première personne venu visiter se présenta

Par ma matraque qui s'ennuie, vicomte de Monestier. Vous ici? Vous auriez put me prévenir, je n'ai pas oublié que je vous avait promis un tapis rouge. Et bien ça si on m'avait dit cela. Allez entrez donc et venez vous reposer confortablement, je fais prévenir Carmeli de votre arrivée.

Le Vicomte de Monestier de Briançon lui sourit se retournant alors pour voir celle dont il avait reconnu le style autant que la voix.

Bonjour Mylène la meilleure année pour toi, qu’elle t’apporte bonheur et réussite. Comment cela pas de tapis rouge tu t’empâte à moins que tu sois grosse, serais tu en cloque, ne dit t’on pas commander c’est prévoir, tu aurais du anticiper et prévoir le tapis rouge. Inadmissible cela.

Il éclata de rire, avant de reprendre sur le même ton enjoué.

Ma petite Carmeli est donc ici, la chose est heureuse qu’elle n’est point eu l’idée de revoir ses montagnes pendant que je suis ici. Attendons-la et alors vous me raconterez ce que vous devenez.
En attendant voici pour toi.

S’approchant de son cheval, il en sortit d’une besace une fiole et un sac.Il lui jeta alors, en l’ouvrant Mylène pourra ainsi y trouver fiole de génépi et nougat.

Ils n'urent guère plus de temps à attendre, que déjà, sa fillote se manifester toute rouge

Bonsoir mon cher Parrain … je n’en reviens pas de vous voir ici. Soyez le bienvenue.

Bonjour fillote et merci ma petite Carmeli, je viens avec un présent pour toi.

Et à son tour elle reçut génépi et nougat.

Alors mesdemoiselles raconter moi donc un peu votre vie je veux tout savoir depuis le temps et ma petite chatte sauvage de Kthee se porte t’elle bien. Allons raconter moi sans détour.

Nombre de messages : 142 Date d'inscription : 30/12/2008

Restée discrètement en retrait *Mylène* laissa le montagnard et sa fillote se retrouver. Jetant un œil sur le guéridon sur lequel elle avait posé la besace jetée par le vicomte dans ses mains elle ouvrit le sac et y découvrit une fiole de génépi ainsi que du nougat. Prenant le petit sachet elle le caressa du bout des doigts et sans les retenir ses pensées l'amenèrent de nouveau vers le Lyonnais . Valence ,la taverne là ou le vicomte venu pour escorter le Roy et sa cour s'était arrêté et lui avait donné des nougats le meilleur des nougats qu'elle avait dégusté en compagnie de dame Marie Alice et de sa grandeur dame Nebisa de Malmort qui fut sœur amazone et amie de sa mère Brunehilde.
Le sachet dans sa main elle leva la tête et les observa un sourire sur les lèvres, ses yeux s'attardant sur la silhouette du montagnard. Celui là même qui ne quitte ses pensées une seconde depuis que quittant Briançon pour Valence elle avait sut que le respect qu'elle avait pour lui cachait autre chose que son cœur lui avait soufflé. Mais qu'était'elle aux yeux de cet homme que bien des femmes convoitaient. A Valence elle s'était étourdie dans son travail voulant prouver à cet homme avec qui certains entretiens c'étaient terminés sur des coups de gueule dont elle avait encore le souvenir. Mais que le moindre de ses compliments faisait sourire et espérer. Et le voilà ici maintenant à Toulouse ,soit Aristote se jouais d'elle soit la créature sans nom voulais la tenter encore en mettant devant ses yeux celui que raisonnablement elle devais oublier.
Baissant ses yeux sur le sachet de nougat elle l'ouvrit et en prit un le suçotant avec plaisir ce qui amena un sourire sur ses lèvres, un petit gout de LD cela faisait longtemps.
Faisant quelques pas elle prit place sur un fauteuil face à Argael et Carmeli s'apprêtant à répondre à ses questions.

Merci Monseigneur meilleure année pour vous également. Mais non je ne suis pas en cloque et ce n'est pas demain la veille que mon ventre s'arrondira. En faite Vanack ayant rejoins le paradis d'Aristote, paix à son âme. Je suis on ne peut plus seule. Vous souvenez vous de ce que je vous ai dit un jour? ..." Les vrais montagnards sont fait pour vivre seuls" Et je crois que c'est on ne peut plus vrai,d'ailleurs quel homme supporterais mon caractère à part un autre montagnard.

A ses derniers mots elle le fixa dans les yeux un instant qui parut sans doute long à Carmeli qui les dévisageait tour à tour,mais qui pourtant ne dura qu'un instant infiniment petit à *Mylène* dont les yeux restaient plantés sur le vicomte malgré le combat intérieur qui se livrais en elle ou la contradiction régnais en maître. Ne pas le regarder ,mais sans pouvoir le quitter des yeux.
Secouant la tête elle se leva brusquement et les regarda.

Je vous sers à boire? On aura moins la bouche sèche pour discuter.

Nombre de messages : 91 Localisation : Castres Date d'inscription : 29/12/2008

Carmeli était toute en joie de le retrouver , elle le trouva si peu changé , quelques petites rides au coin des yeux , les cheveux légèrement grisonnant ce qui lui donné encore plus de charme . Tant bien que mal elle essaya de cacher son émotion.

*Bonjour fillote et merci ma petite Carmeli, je viens avec un présent pour toi.*

Elle s'avança et recut son présent avec un sourire , sourire au souvenir que cela pouvait évoquer.

Merci , mon tendre parrain , vous pouvez pas savoir comme cela me fait plaisir de retrouver un peu des saveur de notre duché

Carmeli évita de le bisouiller une nouvelle fois sachant que les déclarations d'affections ne lui plaisait guère. Elle se contenta d'une révérence et d'un grand sourire malicieux

*Alors mesdemoiselles raconter moi donc un peu votre vie je veux tout savoir depuis le temps et ma petite chatte sauvage de Kthee se porte t’elle bien. Allons raconter moi sans détour.*

Pour ma part tout va et de mieux en mieux en vous voyant a mes cotés , comme vous devez le savoir je m'investis pour la ville , j'ai été sergent , tribun je suis douanière et depuis peu conseillère Comtale , je n'ai pas de poste mais je travaille sur différent projet pour le bien de Toulouse. Quand à votre chatte sauvage , elle est plus sauvage que jamais , et reste cloitré dans sa grotte avec un ours mal léché .

Carmeli cessa de parler pour laisser la parole à Mylène , elle lui jeta un regard noir sachant le fond de ses pensées , regard qui laissé dire on touche pas ^^ .

Nombre de messages : 142 Date d'inscription : 30/12/2008

Pendant qu'elle leur servait à boire *Mylène* sentait les yeux de Carmeli sur elle,un instant elle les croisa et sachant le fil de ses pensées,lui fit un large sourire qui voulais dire, s'il fais un geste pour cela seul Aristote pourra m'empêcher de le toucher ^^.
Prenant deux verres plein elle leur tendit.

Tenez buvez un peu ce génépi à l'air on ne peut plus délicieux.

Reprenant sa place face à eux elle degusta quelques gorgées et reprit la parole.

Quant à moi je suis à la prévôté, je suis sergent. Cela ne me gènes pas d'être revenue à un grade inférieur j'ia fais mes preuves je sait ce que je vaux. Et je comptes le prouver en présentant un projet d'ouverture d'école de la prévôté dans le comté ou elle est inexistante. Je suis toujours mes cours à la garde épiscopale et je me suis inscrite à un cours de droit de dame Bettym au domaine de Belrupt. Comme vous voyez je suis occupée et j'aime ça.

Buvant une autres gorgée elle prit ensuite sa respiration et continua.

Et vous vicomte parles nous du LD. Que deviens notre pays et Briançon? Nos montagnes me manquent.
Prenant un air grave elle attendit que le vicomte réponde.

Nombre de messages : 8 Date d'inscription : 12/01/2009

L’échange entre les montagnards s’engagea donc, les retrouvailles étaient ici heureuses, à voir les sourires sur les visages. Non seulement un témoin aurait pu confirmer le cote heureux mais aussi le coté simple plein de retenu. C’est que « le fier » aussi heureux pouvait t’il être n’était point démonstratif. Il fallait y voir ici une particularité des hauteurs.

Ma chère Mylène, les montagnards ne sont point seul ils leur restent pour leur survivre les montagnes.

Prenant le génépi, ils trinquèrent alors, à Briançon sur demande du Vicomte. Remarquant les regards insistant de Mylène, il le soutint comme a son habitude, mais ne dit rien sur l’insistance qu’il remarqua.

Carmeli prit a son tour la parole pour faire par de son investissement pour ce comté d’adoption et lui donner quelques nouvelles de sa petite Kthee, qui semblait bien avoir trouvé bonheur. La chose le ravi grandement.

Mylène elle aussi n’avait point lâché prise s’investissant toujours pour le bien d’une province et au delà de la population qui en dépend.

Souriant toujours, à leur fonction, il se félicita de ses jugements. Pour sur il avait vu juste en leur assurant son amitié, il avait en face de lui deux jeunes femmes qui s’épanouissaient aujourd’hui en ce Comté de Toulouse. La discussion se prolongé quand l’une d’elle l’apostropha.

Et vous vicomte parles nous du LD. Que deviens notre pays et Briançon? Nos montagnes me manquent.

Le Lyonnais Dauphiné que devient t’il, et bien il survit mais ne fait hélas a mon sens que bien peu de plus. Son influence, son prestige ne m’a semble t’il jamais été aussi bas, mais bon pour avoir interpelé le Gouverneur en salle de doléance nulle crainte à avoir. Je suis pour ma part inquiet mais bon. L’ost semble plus immobile et cloisonné que jamais, il n’y a plus guère que la diplomatie et la prévôté qui tient encore le duché. Hardryan est de nouveau maire de Briançon pour la 8 eme fois, sacre Hard je le revois encore comme vous vas nu pied, voila qui me donne certains frissons.

Sinon et bien Briançon verra peux être enfin une route menant a l’Italie, pour m’entretenir avec une certaine régularité avec Son Altesse Armoria de Mortain, le Grand Maistre de France elle plaide ma cause auprès de Sa Majesté Levan le troisième. Son Altesse m’a également proposé de la rejoindre, et a ses cotes assuré l’escorte du cortège royal. Je n’ais point encore rendu ma réponse mais j’y songe, je verrai bien.

Dites moi damoiselles que faites vous donc de suite maintenant du moins après que j’eu trouvé chambre pour me changer et me laver. Avez-vous envie d’une balade ? Vous auriez alors l’occasion de me présenter ce comté et ses habitants.

Nombre de messages : 91 Localisation : Castres Date d'inscription : 29/12/2008

Carmeli tout en joie écoutait son parrain , ses paroles animaient son visage . Elle le trouva peu changé.

Citation :: Le Lyonnais Dauphiné que devient t’il, et bien il survit mais ne fait hélas a mon sens que bien peu de plus. Son influence, son prestige ne m’a semble t’il jamais été aussi bas, mais bon pour avoir interpelé le Gouverneur en salle de doléance nulle crainte à avoir. Je suis pour ma part inquiet mais bon. L’ost semble plus immobile et cloisonné que jamais, il n’y a plus guère que la diplomatie et la prévôté qui tient encore le duché. Hardryan est de nouveau maire de Briançon pour la 8 eme fois, sacre Hard je le revois encore comme vous vas nu pied, voila qui me donne certains frissons.

A ses dires Carmeli se souvint des bon moment passaient à Briançon à l'Edelweiss , les jours de compagne électorale.

Citation :: Sinon et bien Briançon verra peux être enfin une route menant a l’Italie, pour m’entretenir avec une certaine régularité avec Son Altesse Armoria de Mortain, le Grand Maistre de France elle plaide ma cause auprès de Sa Majesté Levan le troisième. Son Altesse m’a également proposé de la rejoindre, et a ses cotes assuré l’escorte du cortège royal. Je n’ais point encore rendu ma réponse mais j’y songe, je verrai bien.

A quel bonne nouvelle, vous allez accepter son offre ?

Carmeli espérait au plus profond d'elle le voir arriver en comté de Toulouse . Un voile sombre fonça ses yeux a la pensé de le savoir si loin d'elle.

Citation :: Dites moi damoiselles que faites vous donc de suite maintenant du moins après que j’eu trouvé chambre pour me changer et me laver. Avez-vous envie d’une balade ? Vous auriez alors l’occasion de me présenter ce comté et ses habitants.

Nous allons vous trouver cela mon Seigneur , d'ailleurs je vous invite chez Thwaite et moi , vous y trouverez une chambre et de quoi vous laver. Notre maison n'est pas encore bien finit mais nous avons de quoi vous accueillir.

Carmeli le regarda sachant qu'il allait monter sur ses grands chevaux, mais elle pensait qu'il aurait ainsi l'occasion de mieux connaitre son futur époux

http://chezthwaitetcarmeli.forumperso.com/

Je vois déjà votre tête , ne vous inquiétez pas Thwaite construit juste notre future demeure, Puis cela vous donnera l'occasion de mieux le connaitre. Si vous voulez tout en y allant on vous ferra visiter notre charmante ville.

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